Description
Boîte de 120 comprimés sublinguaux
La mélatonine est sécrétée par l’épiphyse ou glande pinéale située à la face postéro-inférieure du cerveau. Elle est bien connue des voyageurs pour ses effets de régularisation des rythmes du sommeil après franchissement des fuseaux horaires : le « jet lag ». Mais les effets de la mélatonine vont probablement au delà de cette « re-synchronisation du sommeil ».
En 1995 les docteurs Walter Pierpaoli et William Regelson firent paraître « Melatonin miracle » traduit en français sous le titre « Le miracle de la mélatonine » (Robert Laffont).
Walter Pierpaoli, chercheur de renommée internationale, dirige le laboratoire de recherche de la Fondation Biancalana Masera d’Ancône, en Italie, et organisa les conférences de Stromboli sur la prévention du vieillissement. Ses travaux sur la mélatonine furent publiés dans des journaux scientifiques tels « Annals of the New York Academy of Sciences » et « Proceeding of of the National Academy of Sciences ».
William Regelson, Professeur de Médecine à la Virginia Commonwealth University de Richmond est spécialiste en oncologie, microbiologie, et techniques biomédicales. Ses recherches portent, depuis plusieurs années sur la prévention du vieillissement.
Malgré le sérieux du travail scientifique des auteurs, leur livre rencontra, à sa parution, une grande opposition dans la Communauté Scientifique (spécialement en France) qui admet difficilement que des chercheurs de ce niveau mettent à disposition du public leurs travaux.
Même si le livre est écrit sur un ton un peu provocateur, il mérite lecture ainsi d’ailleurs qu’un deuxième ouvrage paru aussi en 1995 chez First « Mélatonine : faux miracle ou vrai révolution ? » des Drs Russel Reiter et Jo Robinson. Le docteur Reiter est professeur de neuro-endocrinologie à l’Université du Texas Health Center, membre de l’Académie des Sciences et de l’American Anti-Agging Association.
En l’état actuel des connaissances il semblerait que l’effet « anti-âge » de la mélatonine soit du à son effet antioxydant (comme par exemples la vitamine E ou le sélénium…) effet antioxydant qui s’exercerait sur la cerveau puisque c’est dans le cerveau qu’on la trouve.
Cet effet antioxydant s’exerce surtout sur les radicaux libres très toxiques de type peroxyle et hydroxyle. La mélatonine semble en mesure de stimuler la synthèse des enzymes antioxydants : superoxide dismutase, glutathion peroxydase et glutathion réductase. A doses pharmacologiques elle s’est révélée capable de réduire les dégâts macromoléculaires induits par de multiples agents toxiques dont les métaux lourds (xénobiotiques). Elle inhibe les dommages oxydatifs de divers agents toxiques tels le paraquat, le cyanure de potassium, le tétrachlorure de carbone et le stress de l’ischémie reperfusion. Dans des modèles expérimentaux de Maladie d’Alzheimer et de Parkinson, elle s’est révélée capable de ralentir l’évolution de la maladie. Alors qu’elle ne présentait, par elle même aucune toxicité.
La mélatonine est un antioxydant dont on est certain qu’elle franchit la barrière cérébroméningée, pénètre les différents compartiments cellulaires et réduit les effets toxiques de l’oxygène, telles sont les conclusions du Docteur Reiter
« Melatonin in Relation to Cellular Antioxidative Defense Mechanisms, » Reiter, R. J., et al, Horm. Metab. Res., 1997;29:363-372. 28547
Dans des modèles expérimentaux, chez le rat, la mélatonine réduit la lipoperoxydation (c’est à dire les effets du stress oxydatif sur les graisses de nos cellules et tissus)– de manière « dose dépendante » dans toutes les régions du cerveau. Les auteurs suggèrent que ceci est du à ses capacités hautement antioxydantes. « Melatonin Reduces Kainate-Induced Lipid Peroxidation in Homogenates of Different Brain Regions », Reiter, Russell, et al, FASEB Journal, 1995;9:1205-1210.
En France la mélatonine qui n’est ni un médicament, ni un supplément nutritionnel, n’a pas de statut légal. On peut dire à ce titre qu’elle n’est ni interdite ni autorisée. Par prudence elle n’est pas distribuée ni prescrite par les médecins de ville. Aux États-Unis comme dans divers pays d’Europe elle est autorisée et consommée sans que l’on ne relève à ce jour aucun effet secondaire aux doses classiquement préconisées qui vont de un demi milligramme à trois ou cinq milligrammes absorbés en général une heure avant le coucher.
En fait les doses sont strictement individuelles : certains sujets qui prennent un demi milligramme peuvent avoir des difficultés de réveil et la tête un peu lourde ou se réveiller vers 3 heures du matin. Il suffit alors de réduire les doses et de trouver sa propre dose…
Le produit présenté ici est très pur et garanti.Nous avons mis en ligne les certificats d’analyse afin de couper court à toute polémique concernant la qualité des produits commercialisés par NCI.
Nous rappelons, comme d’ailleurs l’affirme le Professeur Baulieu pour la DHEA lui-même, qu’il est déconseillé de commander ce type de substance aux États-Unis où la constance de la qualité n’est pas assurée (voir également la revue SCIENCES ET VIE, Juin 2000, page 47!).
De plus, ceux dont les colis seraient arrêtés par les douanes risquent ultérieurement des contrôles et des amendes.
Par contre, dans la mesure où l’on est certain de la qualité des produits, aucune loi ou règlement n’interdit à un citoyen de l’union européenne de commander ce type de produit en libre circulation intracommunautaire.
Qui devrait prendre de la mélatonine ? Toute personne, même dés la quarantaine, désirant ralentir son vieillissement répondait le Docteur Pierpaoli au deuxième congrès de l’European Anti-Agging Association qui se tenait à Bruxelles en septembre 1999.
Plus encore, tous ceux qui prennent régulièrement ou ont pris des médicaments tels certains somnifères, anti-hypertenseurs, anti-inflammatoires et antidépresseurs qui inhibent la sécrétion de la mélatonine et dont certains effets secondaires, à terme, pourraient être dus à cette inhibition. Mais le tabac et l’alcool sont également des inhibiteurs.
La mélatonine fait elle dormir ? oui et non : chez certains, elle permet d’aider au sevrage des somnifères et de régulariser le sommeil, chez d’autres elle raccourcit la durée du sommeil, ce qui ne signifie pas qu’elle en diminue la qualité. Chez presque tous les sujets elle modifie le nombre et la nature des rêves.
La mélatonine peut elle être toxique ? Non, répond le docteur Russel car en dehors du fait que des millions d’américains en prennent sans qu’aucun incident n’ait été signalé, des expérimentations ont été faites à des doses des milliers de fois supérieures à celles préconisées sans que l’on ne relève de toxicité.
Par prudence on la déconseille chez les femmes enceintes, désirant l’être, le femmes qui allaitent, les maladies du système immunitaire comme certaines graves allergies ou certains cancers comme les lymphomes ou leucémies.
Pour en savoir plus nous ne pouvons que vous conseiller de vous reporter aux ouvrages cités.
Nous vous conseillons d’avertir votre médecin si vous prenez de la mélatonine et particulièrement si vous prenez en même temps des médicaments.
Pour en savoir plus lisez « Les techniques de lutte contre le vieillissement », l’excellent « Que Sais-je » du docteur Christophe de Jaeger, disponible en librairies ou sur notre site.
La mélatonine 2,5 Mg est présentée en boîtes de 120 comprimés sublinguaux
Dans tous les cas une supplémentation en mélatonine ne devrait jamais être commencée à cette dose, mais à 1 milligramme qui est en général une dose suffisante pour les individus autour de la cinquantaine.
Si les doses prises sont trop fortes on se réveillera « endormi » ou avec la tête lourde le matin ou au contraire, on se réveillera vers 3h. du matin sans pouvoir facilement se rendormir. Dans ce cas il faut diminuer ou cesser la supplémentation si ce problème ne disparaît pas en passant à une dose plus faible.
Les produits disponibles sur ce site sont livrés depuis les USA.
Pour les livraisons en dehors des États-Unis, vous pouvez avoir à régler des frais supplémentaires auprès de la douane de votre paysNous vous rappelons que le « régime d’exception » permettant l’importation à usage privé (non destiné à la revente) de médicaments ou de suppléments nutritionnels qui ne seraient pas disponibles dans le pays où vous résidez est une tolérance bien établie, sanctionnée par une abondante jurisprudence dans la plupart des pays européens. Cette tolérance correspond généralement à quelques semaines de consommation personnelle. Pour en bénéficier, nous vous conseillons de limiter vos achats à une boîte de chaque référence, et de répéter ceux-ci aussi souvent qu’il sera nécessaire.
Nous vous invitons néanmoins à vérifier la licéité de ces produits dans votre pays de résidence.
