Description
De notre flore intestinale dépend les bases de notre santé
Constamment menacée par des agressions toxiques, infectieuses et parfois médicamenteuse, notre flore intestinale est souvent fragilisée. L’alimentation moderne et industrielle avec ses problèmes de conservation, de stockage, de ruptures de chaînes de froid pour les aliments surgelés, aggrave encore ce risque. Il est et sera de plus en plus difficile d’y échapper, à moins de ne plus sortir de chez soi et de ne plus cuisiner que son propre jardin. Le brassage des populations entraîne aussi des risques infectieux nouveaux. Beaucoup de gens présentent des difficultés digestives se manifestant par des ballonnements, des gaz, des lourdeurs après les repas, une mauvaise haleine ou des selles d’aspect, d’odeur ou de fréquence anormale.
Sans une flore intestinale résistante et performante, pas de santé !
On sait que bon nombre de maladies peuvent provenir, être entretenues ou aggravées par des déséquilibres de la flore ayant eux-mêmes des conséquences sur la perméabilité de la cellule intestinale. La plupart des allergies chroniques sont contemporaines de troubles de la flore intestinale qui conduisent à une augmentation mesurable de la perméabilité de la paroi intestinale. A l’heure de la « l’alimentation suicide » (voir « Sciences et Vie N° 983, p 74 à 92 et le livre : « Toxic Bouffe » de Lionelle Nugon-Baudon, Ed J.C. Lattes 1997) on comprend la nécessité d’augmenter la résistance à l’agression toxico-chimique et la qualité de notre « filtre » intestinal.. Les antibiotiques souvent mentionnés comme cause éventuelle de notre affaiblissement ne sont qu’une infime partie du problème, dans la mesure où nous n’y sommes exposés qu’épisodiquement. Il n’en est pas de même des différents résidus d’hormones, des conservateurs ou de traitements divers comme les pesticides ou fongicides.
L’ « affaire de la dioxine » n’est peut être que l’arbre qui cache la forêt.
Que sont les probiotiques ?
Ce sont toute substance capable de « réactiver » la flore intestinale : germes dits saprophytes ou ferments capables de la renforcer après l’agression microbienne, mycosique, toxique ou médicamenteuse, stimuler ses capacités digestives et immunitaires, contribuer et réguler, en douceur, autant les phénomène de diarrhée que de constipation.
Equiflore est une association originale de cinq « probiotiques » (Lactobacillus Acidophylus, Bulgarus, Para Casei, Rhamnosues et Bifidus) quatre fois plus dosée que l’association classique Acidophillus-Bifidus.
Pour une bonne assimilation, gage d’un équilibre de la santé
Avoir une bonne alimentation, prendre, si besoin les compléments qu’il vous faut, c’est bien ! Mais si vous n’avez pas un système digestif et plus particulièrement une flore et une cellule intestinale capable d’assimiler correctement ils dépenseront beaucoup d’énergie (et d’argent) pour de faibles résultats : l’équilibration et le renforcement de la flore devrait être le « premier acte » de la nutrition et de la supplémentation nutritionnelle. Par ailleurs des études tout à fait récentes soulignent l’intérêt que pourraient avoir les probiotiques dans la prévention des maladies de dégénérescence cellulaire des organes digestifs.
Le réflexe probiotique
Dans la plupart des situations, nous ne pouvons être garants de la qualité de la nourriture ingérée. Ce pari, à la lumière de l’actualité récente devient de plus en plus fou !
Beaucoup de troubles digestifs mineurs manifestés par des gaz, des ballonnements intestinaux et des troubles du transit sont améliorés par la prise, quasi en continu, c’est à dire neuf mois par an et dix jours par mois d’une gélule d’ Equiflore quelques minutes avant les principaux repas. Beaucoup de ces troubles sont corrélés avec des infections chroniques notamment à champignons (candida albicans), mais il semble bien que ces infections soient secondaires à des modes d’alimentation frelatés ou déséquilibrés. Ces infections tendent d’ailleurs à disparaître après quelques mois.
Conseil d’utilisation :
En général, en cas de troubles digestifs, de troubles de l’assimilation, après un traitement anti-infectieux (jamais pendant) des cures de dix à vingt jours par mois de 1 gélule au début des principaux repas.
Acidophilus (millions) 1.000
L-Bifidus (millions) 1.000
L-Bulgaricus (millions) 1.000
L-Para Casel (millions) 1.000)
L-Rhamnosus (millions) 1.000
Fructo olifo saccharides 125 mg
Fenouil graines 75 mg
Acide Caprilique 75 mg
Paba 50 mg
Pectine d’agrumes 25 mg
Conditionnement :
Boîte de 30 gélules végétales